L'Ours et le Dragon

Voilà encore un historique de moi, ce n’est que la première partie et bientôt vous aurez la suite :
Ps : Les Druzhinas constituent la petite noblesse de Kislev, et commandent généralement les régiments kislévites et les rotas de lanciers ailés sous le nom de Capitaines Druzhinas
Chaque village kislevite, doit envoyer lorsque la Tzarine le demande, un régiment de guerriers au combat. Les régiments fournis par les villages kislevites sont en général menés par un Essaul qui est une sorte de champion qui a participé à des dizaines de batailles.
Les Boyards sont des officiersde la Tzarine, et ce sont pour la plusparts des nobles. C’est pour cela qu’ils sont les supérieurs des druzhinas
Un rota est l’équivalent d’un régiment de lanciers aillés. Leurs effectifs vont de 20 à 200 cavaliers sous le commandement d’un Druzhina ou d’un Boyard

L’Ours …
Le soleil brillait d’un éclat éblouissant sur la toundra qui se débarrassait de ses gelées matinales. Le capitaine druzhina Boris Nicolaïevitch Kouglov dût détourner son regard du campement chaotique situé à l’Est et il se retourna pour vérifier si son régiment de kossar était toujours en état de combattre après un mois à supporter le siège des sauvages adorateurs des dieux sombres. Il rit quant il se rendit compte que ceux qui n’étaient pas de quart à cette heure matinale, étaient déjà en train de parier sur un combat d’ours organisé par la garnison de Kislev, une bouteille de vodka à la main. Il descendit pour aller manger après une nuit à guetter une éventuelle attaque des nordiques avec ses hommes. Il avait remarqué que passer des corvées avec ses hommes augmentait leur moral et leur confiance en lui, même si à cause de ses origines nobles c’était lui qui commandait, personne ne remettrait cela en question, ses hommes étaient tout de même près à mourir pour lui.
Il était perdu dans ses pensées quant il entendis un son de cor de bataille, se rendit compte que ce cor n’était pas kislevite, et que cela ne pouvait signifier qu’une seule chose : une nouvelle offensive sur les murs. Il essaya de se rendre sur les murs comme le faisait le reste de son régiment, mais il fut interrompu par un jeune écuyer, sûrement le jeune fils cadet d’un grand noble, portant les couleurs de la tzarine, qui essayait de délivrer son message au milieu de la cohue précédant un assaut chaotique. « Capitaine, le boyard Leonov vous demande aux écuries, il désire faire une sortie. ». Le druzhina ne pris même pas le temps de lui répondre et, donnant le commandement des kossars à Arthur Krystovitch Jasinsky, l’esaul en qui lui et surtout ses hommes avaient toute confiance, il courut rejoindre les cavaliers qui se rassemblaient prés des écuries autour du boyard Leonov.


Arrivé prés de l’endroit où le boyard Leonov dirigeait les défenses de la porte Est, il aperçut Sansken, son destrier que menait Piotr son écuyer. Il se dépêcha de les rejoindre, et sans un mot, il monta sur Sansken tandis que Piotr se démenait tant bien que mal pour lui fixer son aile dorsale, symbole des lanciers ailés. A peine cela fini, il partit rejoindre le boyard au milieu de l’attroupement, laissant Piotr seul dans la cohue. Il finit par apercevoir le boyard en train de discuter avec le capitaine druzhina Dostov. Le capitaine Dostov avait l’air furieux, et ne cachait pas son mécontentement, ce qui malgré tout laissait Leonov froid. Boris attendis que leur conversation soit terminée et que le druzhina Dostov soit parti rejoindre son rota, pour avancer et demander au Boyard la raison de cette sortie.
«_Nous allons effectuer une sortie en simultané avec la porte Sud, de façon à désorganiser leur assaut, et à réduire au silence leur artillerie démoniaque. Répondit Leonov avec empressement
_ Mais pourquoi organiser une sortie durant une attaque, nous serions plus utiles sur les remparts avec le reste des hommes ! explosa le druzhina, qui ne comprenait pas très bien le sens stratégique de cette action héroïque
_ Ordre direct de la Tzarine, trancha sèchement Leonov. ».
Boris se tus, conscient qu’il ne pouvait contester un ordre de la Tzarine, ce qui eut l’air de satisfaire le Boyard Leonov : « Maintenant Boris Nicolaïevitch rejoignez votre rota et menez la sur ma droite lors de l’assaut. finit-il »
Le capitaine druzhina Boris Nicolaïevitch Kouglov remercia le boyard et parti tout de suite rejoindre son rota. Il comprenait maintenant ce qui avait exaspéré le capitaine Dostov. Mais on ne discutait pas un ordre direct de la Tzarine. Il rejoignit le rota dont il avait le commandement, puis suivit le boyard qui venait de partir en direction de la porte à travers les grandes rues de la ville. Il se plaça directement à droite de lui alors que Dostov, lui se plaçait à gauche. Ils étaient suivi de leurs rota respectives, placées en file indienne derrière eux, et les fiers lanciers continuèrent ainsi jusqu’à la porte qui était juste assez large pour faire passer trois cavaliers de front.
Là ils s’arrêtèrent soudainement, et le boyard Leonov fit déployer la bannière que tenait son étendard personnel. Elle était magnifique, brodée de fils d’or et d’argent, et il représentait un gigantesque ours fait de fils d’or et d’argent entrelacés, avec en fond deux haches noires se croisant sur un fond rouge sang. La vue de l’un des étendards personnels de la tzarine, qui n’avait pas été sortit depuis la mort du Tzar Boris, réchauffa le cœur des lanciers, plus que n’importe quelle gorgée de Vodka. Les portes s’ouvrirent alors, et le boyard hurla dans un souffle :
« En avant, fils d’Ursun ! »



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Voila la suite

LE DRAGON...
Les lanciers ailés se jetèrent au triple galop hors de la forteresse, dans un siflement aigu, dû à l’immence aile de plume que portait chaque cavalier. La plaine remplie de nordiques, transportant échelles et beliers pour s’attaquer à la forteresse. Boris rit à cette idée, conscient que depuis sa fondation, la cité n’était jamais tombée aux main de l’énemis, même durant lagrande guerre du Chaos ou elle avait dû résister à plus de trois ans de siège. Et ce n’était pas ces trentes jours de siège qui allait inquiéter les valeureux kislevites. Boris se lança avec le reste de ses cavaliers à droite du boyard qui lainsi qu’on lui avait demandé, et son rota se positiona en position de charge, formant deux lignes de bataille, tout en continuant de charger,grace à la discipline et l’aisance à cheval qui faisait la fierté des kislévites. Rangeant son sabre de cavalerie, héritage famillial, dans son foureau, le druzhina placa sa lance de cavalerie sous son aisselle, la mit à l’horizontale, et après avoir placé son bouclier du mieu qu’il put, il lanca Sansken au triple galop. Emcombrés par leurs lourds engins de siège, les nordiques ne purent pas résister à la charge des rota, et fuyant devant la furie de cette charge glorieuse, ils laissèrent leurs engins sur place, le capitaine ne pit pas la peine de les poursuivre, car il avaient à faire autre part.
En effet, un petit groupe de nordiques s’étaient regroupés à l’Est du capitaine, et Boris mena son rota sur eux. Ils étaient regroupés autour de leur chef, un immence guerrier harnaché dans une immence armure faite d’un materiau inconnu, armé d’un enorme fléau sur lequel on pouvait voir de nombreux visages grimaçant. Visiblement aimé par ses dieux horribles, le chef de maraudeurs était horriblement muté. En effet, son visage n’avait plus rien d’humain et ressemblait à une monstrueuse tête de chevre. Rassemblant leur courage les lanciers du rota percutèrent le bloc d’adorateurs des dieux sombres avec violence. Au moment du choc Le capitaine druzhina perfora un nordique de part et d’autre avec sa lance et, pourssuivant son élant, enfonsa profondemment sa lance, où un nordique était toujours empallé, dans l’épaule d’un autre maraudeur. Boris laissa tomber la car elle était désormais unitile, et il dégaina son sabre . Un Sauvage tempta de le frapper de sa hache, mais son coup fut boqué par le bouclier du druzhina, et avant que ce dernier ne puisse riposter, le nordique fut percuté par Sanken, qui l’envoya voler à plusieurs métres de là.Profitant de la confusion des maraudeurs, Boris Nicolaïevitch se riqua à observer comment se déroulait le combat autour de lui. Les maraudeurs, bien que plus nombreux étaient écrasés et repoussés par la charge furieuse des fils d’Ursun. Mais leur chef lui refusait de reculer, et avait déjà démonté deux lanciers ailés. Il resplendissait d’une aura sombre de sauvagerie, et de douleur, faisant de lui un adversaire terrifiant pour les kislevites, dont le courage commencait à défaillir. Soudain le regard du champion du Chaos croisat celui du capitaine, et malgré sa peur, Boris le soutenut…
Soudain, sans qu’un mot ne fut prononcé, Les nordique se s’écartèrent laissant juste assez de place aux deux guerriers pour un duel. Conscient qu’il ne pouvait refuser sous peine de voir defaillir le courage déjà bien émoussé de ses hommes, le capitaine druzhina Boris Nicolaïevitch kouglov, fit se tourner Sansken pour se retrouver face à face avec le chef des adoratuers des dieux sombres. Autour d’eux, les combats avaient céssé, et tous les regards étaient tournés vers les deux duelistes. Dans une parodie de duel, le nordique éfectua une démonstration de ses talents avec son fléau, le faisant tourner dans le vide avec une dextérité que ne laissait présager ni son arme, ni sa constitution brutalle. Après quelques secondes, il se mit en position de combat, le bout de son fléau démoniaque touchant par terre, les musqules tendus, prés à recevoir la charge du kislevite. Boris calma Sansken qui visiblement était térifié par l’aura du chaotique, se rendant compte qu’il aurait du mal à forcer la pauvre bête à charger cet horrible mutant, et comprenant ce que le maraudeur voulait de lui, le capitaine effectua queque mouvement et bottes avec son sabre, comme on lui avait apris à l’académie militaire de Erengrad. Il finit sa démonstration par ranger son sabre dans son foureau après quelques moulinés. Ce faisant, il crut apercevoir de la surprise dans les yeux inhumains du guerrier, mais Boris n’était sûr de rien. Le capitaine plongea alors sa main dans l’étui qu’il avait dans le dos, et , comprenant ce qui allait se passer, le nordique se jeta sur le kislevite. Mais l’adorateur des dieux sombres fut trop lent, et au moment il il arrivait à deux pas du capitaine, sa tête était déjà perforée par deux balles tirées depuis le pistolet de duel que le druzhina portait dans son dos.
Voyant cela les lanciers ailés éclatèrent de rire, et les maraudeurs qui visiblement n’avaient jamais vu d’arme à feu, s’enfuirent, quant le capitaine tira deux autres balles dans la carcasse de leur chef, pour s’assurer qu’il était bien mort.Les lanciers se jetérent alors à nouveau sur les nordiques en fuite. Leurs cimeterres et leurs sabres jaillissaient, exterminant les sauvages par dizaines, et de nombreux autres nordiques moururent piétinés par les cheveaux de Kislev.
Laissant les derniers adorateurs des dieux sombres s’enfuir, le capitaine fit sonner le regroupement. Il remarqua alors pourquoi, lui et ses hommes n’avaient eu à afronter que quelques nordiques, et pas des horreurs mutantes, ou des démons. En effet au sud,à quelques centaines de métres, il apercut le reste de la bataille. Les forces chaotiques qui assiégeaient la ville depuis un mois, étaient aux prise avec les lanciers ailés de la porte Sud, reconnaissables à leur banière représentant une hache au manche formé d’un éclair, symbole de Thor, le dieu de la guerre chez les kislevites, auquels s’ajoutaient les rotas du boyard Leonov et du druzhina Dostov, regroupés autour de la banière sacrée d’Ursun. Les kislevites étaient malgré tout en très fort sous éfféctifs, et l’éffet de surprise que leur conferait leur sortie ne durerait plus longtemps
Plus étrange on distingait au loin à environ une lieu, une immence armée naine. Boris et ses hommes avaint eu vent de l’arrivée de renforts nains, mais il ne les attendaient pas de sitôt. Mais Boris se sentit mal à l’aise quant il se rendit compte que l’armée naine était entièrement constituée de nain teints en roux et partant au combat sans armure. Il avait déjà rencontré des guerriers de ce type, il se souvenait qu’ils se faisaient appeler tueurs, mais en général ils se déplacaient seuls ou par petit groupes, en se rendant au Pays des Trolls, endroit dont il ne revenaient que rarement, pour ainsi dire jamais. Les rencontrer par milier lui fit malgré tout chaud au cœur, car il se souvenait qu’ils étaient d’un courage et d’une pugnacité très fortes, même pour les nains qui sont la race la plus courageuse et la plus forte de tout le monde, et qui sont largement supérieurs au faibles humains et surtout aux pathétiques èlfes qui sont des briseurs de serment, des lopettes, des tapettes, des sous-merdes, et des espèces de***********(pardon ce passage a été censuré car il peut choquer les ames sensibles, surtout le tapettes d’èlfes qui sont que des fiotes)*********
Bon je me suis égaré en route( chassez le naturel, il revient au galop ), mais reprenons à : « d’un courage et d’une pugnacité très fortes, même pour les nains. »


Conscient que la bataille allait tourner en leurs faveurs, les lanciers ailés du druzhina Kouglov se mirent en position et chargèrent les positions chaotiques se mettant à chanter en cœur, et à plein poumon la ballade des cosaques une chanson guérrière kislevites. Mais, avant qu’ils ne puissent ateindre les lignes que formaient tant bien que mal les nordiques, une immense sillouète ailée, sortie de nulle part passa par dessus eux. Elle venait du nord, et dès que les hommes l’eurent apercu, une ombre éffroyable assombrit leurs cœurs. Le monstre passa en rase motte au dessus du rota de Boris, qui bien qu’il fut térrorisé reconnu la bête qu’il avait toujours cru tirée d’un conte pour enfant: un immense corps reptilien, deux immences ailes, des écailles sombres, et une gueule d’ou sortait en permanence des vapeurs nauséabondes. Cette créature était un immence dragon du Chaos ! Ne pouvant interompre la charge,il préssa le train et fit accelerer Sansken. Mais cela ne servi à rien, car le dragon avait manifestement pour idée de s’occuper des lanciers ailés qui tentaient tant bien que mal de tenir les rangs

La suite et ultime fin: Bientôt

Trés bon texte, belle description du duel, il ne manque plus qu une suite